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    Paris

    25.06.17

    Mer 20:30

    Flora Miranda

    Nothing Matters but the End of Matter

    Dans le cadre de la Fashion Week Paris Haute Couture, la créatrice autrichienne Flora Miranda présentera sa nouvelle collection. L’invisible, le rien, l’air autour du corps conceptualisent l’espace des possibles pour le vêtement jusqu’à l’élément tangible le plus proche. De quelle matière ce corps-environnement est-il fait ? D’air, de gouttes d’eau, d’ondes radio, de rayons lumineux, d’ondes sonores : des forces physiques qui ne sont pas matériellement tangibles mais qui s’agrègent et s’homogénéisent sous des vibrations porteuses d’informations. Flora Miranda rend cette matière invisible - l’espace ambiant - portable pour le corps humain dans sa nouvelle collection. Nothing Matters but the End of Matter explore donc l’inter-espace. Ou quand « le vêtement est ce qui se trouve entre le corps et le monde » (Flora Miranda, Salzburger Nachrichten, 2016)

    Infos pratiques

    25.06.17

    Mer 20:30

    Advantage Austria Paris

    6 avenue Pierre 1er de Serbie, 75116 Paris

    Renseignements : 01 53 23 05 05
    Site : www.advantageaustria.org

    Paris

    14-09-2023 > 21-09-2023




    Party Party Party oder produktive Repetition

    Hey Hey Hey oder Repetition des Gewöhnlichen / Perfect Party or the Misery of the Extraordinary / Party Party Yeah Yeah (Que sera sera, whatever will be will be)

    Le Kunstraum flat1 de Vienne vient à IMMANENCE Paris avec une exposition dont le titre est intentionnellement composé de quatre.

    Party Party Party oder produktive Repetition Joanna Schulte présente entre autres son œuvre blaupunkt, dans laquelle on peut voir une projection vidéo d’une commode vintage avec une boule à facettes montée sur le dessous, ainsi qu’un tourne-disque. L’aiguille est manipulée et ne joue qu’une boucle du single « Give me your love » de Frank Duval. Joanna Schulte joue ici avec la répétition comme point de départ créant un nouveau son, écrit Jennifer Bork à propos de Schulte : « Le mélange de simples matériaux quotidiens d’une époque révolue et l’application de pratiques culturelles contemporaines comme le sampling et le remix caractérisent l’approche artistique de Joanna Schulte du clash des niveaux temporels. » L’œuvre crée une situation de fête surréaliste avec une boule à facettes et un son rejoué en permanence – qui, justement par la répétition, invite de manière productive le.a spectateur.ice à écouter et peut-être même à danser.

    Perfect Party or the Misery of the Extraordinary L’œuvre de Lola Pfeifer it’s perfect. no mold, traite également de la répétition et plus particulièrement de la perfection répétée. L’artiste oppose la vulnérabilité du corps humain au besoin d’épurer et d’ordonner. Son code à cet égard sont des boucles de maintien telles qu’on les connaît dans les transports en commun, d’une part sous forme de piles de copies tridimensionnelles en marbre véritable, exactement modélisées, d’autre part sous forme de pièces originales enfilées dans le métro. Tout n’a pas l’air aussi parfait que cela pourrait l’être – la pile est de travers, les boucles de métro ne devraient pas être enfilées, ce qui permet à Lola Pfeifer de symboliser la recherche de la perfection. Dans le texte qui complète l’œuvre d’art, on entend le monologue intérieur désespéré qui va avec : « Je déteste empiler et plier. Ce qui est ironique. Parce que c’est presque parfait. Qui n’aime pas ça ? J’aime aussi la perfection. J’essaie d’atteindre la perfection. Mais c’est dommage que ça ne marche pas. Il y a toujours quelque chose de sale. Ce n’est pas grave, ce n’est pas grave. Faire le poing, étirer les doigts. Faire le poing. Étirer les doigts ensemble. Puis les étirer un par un. »

    Party Party Yeah Yeah (Que sera sera, whatever will be will be) Depuis peu, la perfection a aussi un adjectif parfait : pelé, qui signifie « exceptionnel » en portugais, en référence au footballeur du même nom – un footballeur du passé « L’attribut « pelé » sert la glorification idéologiquement ancrée de l’exceptionnel, de l’incomparable, de l’unique […] [Mais] il recèle en même temps quelque chose de réconfortant, d’apaisant, d’encourageant. En effet, le mot évoque directement l’homme dont il est dérivé et connote ainsi l’ascension sociale : Pelé, c’est le garçon issu d’un milieu pauvre qui a réussi à s’établir comme une sommité internationale dans son domaine. Mais Pelé venait d’une époque révolue, et c’est pourquoi l’adjectif homonyme s’entoure d’un soupçon de nostalgie ou de la nostalgie d’une époque où les choses semblaient plus simples à comprendre et les projets de vie plus faciles à réaliser. » C’est cette nostalgie de la répétition et du retour d’un temps apparemment ordonné et clairement structuré, qui semble rarement atteignable dans l’ordre du monde actuel, qui est mise en avant chez Karin Maria Pfeifer. La répétition de la répétition est visible dans le dessin du motif répétitif du papier peint, accompagné du clignotement rythmique d’une lampe de plafond posée sur le sol. Karin Maria Pfeifer s’interroge sur la nostalgie et le désir de la répétition (voir Pelé), mais d’un autre côté, en haut, sur le déplacement et la négation de cette succession temporelle. « Il n’y a pas une temporalité linéaire, il n’y a que des temporalités, des temporalités différentes entre le passé, le présent, le futur et les espaces qui se rencontrent, se superposent, se déplacent ».

    Hey Hey Hey oder Repetition des Gewöhnlichen Ne pas se décider signifie étonnamment que l’on ne se décide pas seulement contre tout, mais aussi pour quelque chose – à savoir pour une répétition de ce qui a déjà été fait. L’œuvre de Sula Zimmerberger travaille littéralement avec une telle répétition, puisque plusieurs rideaux sont présentés en série les uns à côté des autres. Hors contexte, les plis des rideaux semblent avoir plus de similitudes que de différences, mais en même temps, si l’on y regarde de plus près, toute différence, même minime, sera plus frappante que des perturbations grossières dans la répétition. En répétant un objet en soi souvent observé, Zimmerberger transforme l’ordinaire en extraordinaire, le remplit de signification et le rend ainsi plus complexe que le tissu que les photographies représentent.

    (c) Joanna Schulte

    IMMANENCE

    Adresse : 21 Avenue du Maine, 75015 Paris, Frankreich
    Lattitude : 48.84343259999999
    Longitude : 2.3207506

    Paris

    25.06.17

    Mer 20:30

    Flora Miranda

    Nothing Matters but the End of Matter

    Dans le cadre de la Fashion Week Paris Haute Couture, la créatrice autrichienne Flora Miranda présentera sa nouvelle collection. L’invisible, le rien, l’air autour du corps conceptualisent l’espace des possibles pour le vêtement jusqu’à l’élément tangible le plus proche. De quelle matière ce corps-environnement est-il fait ? D’air, de gouttes d’eau, d’ondes radio, de rayons lumineux, d’ondes sonores : des forces physiques qui ne sont pas matériellement tangibles mais qui s’agrègent et s’homogénéisent sous des vibrations porteuses d’informations. Flora Miranda rend cette matière invisible - l’espace ambiant - portable pour le corps humain dans sa nouvelle collection. Nothing Matters but the End of Matter explore donc l’inter-espace. Ou quand « le vêtement est ce qui se trouve entre le corps et le monde » (Flora Miranda, Salzburger Nachrichten, 2016)

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    25.06.17

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    Paris

    12-03-2024




    Sophia Schnack, Andreas Unterweger, Laure Gauthier et Guillaume Métayer

    Écrire entre les langues

    Lecture de poésie franco-autrichienne avec Sophia Lunra Schnack, Andreas Unterweger, Laure Gauthier et Guillaume Métayer. Au programme, des textes qui ouvrent un espace linguistique intermédiaire et jouent avec les sonorités et les rythmes de l’autre langue. Les poèmes dans les deux langues seront lus l’un après l’autre, l’un avec l’autre et « l’un dans l’autre », afin de dépasser les frontières et d’en créer de nouvelles. Nous prévoyons une bonne heure de lecture, puis suffisamment de temps pour la discussion. Public cible : toute personne intéressée par la poésie contemporaine française et/ou autrichienne.

     

    Sophia Lunra Schnack, * 1990 Vienne. Elle écrit de la poésie et de la prose (lyrique) qui ont été publiées jusqu’à présent, entre autres, dans les Manuscrits, dans la Galerie de poésie, dans Das Gedicht ou dans Signaturen. Ses textes mettent l’accent sur la matérialité, la musicalité et la sensualité du langage. L’auteure écrit aussi bien en allemand qu’en français. Elle cherche toujours un rapprochement sonore et atmosphérique entre les deux langues. En 2022, elle reçoit le prix d’encouragement rotahorn. En août 2023, son premier roman feuchtes holz paraît chez Otto Müller. www.sophialunraschnack.com

    Andreas Unterweger, * 1978 Graz. Écrivain, traducteur et éditeur de la revue littéraire manuskripte. Il a publié six livres, le dernier étant le roman « So long, Annemarie » (Droschl 2022), qui se déroule à Nantes. En français, il a notamment publié en 2019 « Le livre jaune » dans la traduction de Laurent Cassagnau chez LansKine. Il a lui-même traduit en allemand, entre autres, « kaspar aus stein » de Laure Gauthier (Thanhäuser 2021) et « Simulakren » de Guillaume Métayer (Yara 2016). Il a reçu de nombreuses distinctions pour ses travaux littéraires, dont le prix manuscrit du Land de Styrie 2016. www.andreasunterweger.at

    Laure Gauthier, * 1972 à Courbevoie, France. Écrivain multimédia, poète et auteur. Elle conçoit ses textes comme des espaces de vigilance. Elle y interroge à la fois la place de la sensibilité, notamment de la voix et du toucher, dans un monde ultra-rationalisé, et la place du document et de l’archive dans l’expérience de la violence individuelle et politique. Elle a écrit son premier texte poétique en allemand (marie weiss rot / marie blanc rouge, Delatour, 2013) et accorde une grande importance aux traductions et à la notion d’espace entre les langues. Ses textes ont été traduits en cinq langues (allemand, anglais, espagnol, italien et turc). Kaspar aus stein (Editions Thanhäuser, 2021) a été traduit par Andreas Unterweger. Elle a publié plus récemment kaspar de pierre (La lettre volée, 2017), je neige (entre les mots de villon) (LansKine, 2018), les corps caverneux (LansKine, 2021) et la cité dolente (LansKine, 2023). En mars 2021, l’album transpoétique Éclectiques Cités est sorti chez le collectif Acédie58.

    Guillaume Métayer, *1972, vit à Paris. Poète, traducteur, chercheur en sciences humaines. Il a publié de nombreux ouvrages, comme le recueil d’essais sur la traduction littéraire A comme babel aux éditions La rumeur libre 2020, où il dirige également la collection Poésie/Centrale, le recueil de poèmes Libre jeu (Caractères 2017) ou Nietzsche et Voltaire (Flammarion 2011). Traductions, notamment du hongrois (István Kemény, Attila József, etc.) et de l’allemand (Friedrich Nietzsche, Andreas Unterweger…). Prix Bagarry-Karatson, Prix Henri de Régnier (Académie française), etc. En 2016, le recueil de poèmes Simulakren a été publié chez Yara (traduit du français par Andreas Unterweger).

     

    202209 Sophia Schnack Kaffeemonarchie C Alain Barbero

    L’ours et la vieille grille

    https://www.parislibrairies.fr/

    Adresse : L'Ours et la Vieille Grille, Rue Larrey, Paris, Frankreich
    Lattitude : 48.84217859999999
    Longitude : 2.353548599999999

    Paris

    25.06.17

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    Flora Miranda

    Nothing Matters but the End of Matter

    Dans le cadre de la Fashion Week Paris Haute Couture, la créatrice autrichienne Flora Miranda présentera sa nouvelle collection. L’invisible, le rien, l’air autour du corps conceptualisent l’espace des possibles pour le vêtement jusqu’à l’élément tangible le plus proche. De quelle matière ce corps-environnement est-il fait ? D’air, de gouttes d’eau, d’ondes radio, de rayons lumineux, d’ondes sonores : des forces physiques qui ne sont pas matériellement tangibles mais qui s’agrègent et s’homogénéisent sous des vibrations porteuses d’informations. Flora Miranda rend cette matière invisible - l’espace ambiant - portable pour le corps humain dans sa nouvelle collection. Nothing Matters but the End of Matter explore donc l’inter-espace. Ou quand « le vêtement est ce qui se trouve entre le corps et le monde » (Flora Miranda, Salzburger Nachrichten, 2016)

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    25.06.17

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    Paris

    30-08-2023




    Open Studios: Work in Slow Motion

    Avec Diana Bobb

    Ce mercredi 30 août 2023, nous pourrons faire la connaissance de Diana Bobb et de ses illustrations, dans le cadre de la visite hebdomadaire de la Cité internationale des arts. Diana Bobb a étudié le design de communication à Graz et à Salzbourg et les beaux-arts à Valence. Parmi d’autres artistes, elle vit, travaille et expose ses œuvres en résidence de Salzbourg.

    Chaque mercredi, la Cité internationale des arts invite à découvrir les atéliers des artistes résidant.e.s à Paris. Au cœur de ce projet se trouve l’activité de la Cité internationale des arts, un lieu où se rencontrent des créateur.ice.s de nombreuses générations et disciplines artistiques du monde entier. Les pratiques artistiques, curatoriales et institutionnelles sont plus que jamais à l’avant-garde de cette nouvelle dynamique éthique, sociétale et environnementale. Dans ce contexte, la résidence d’artistes prend une nouvelle dimension par son caractère durable et non événementiel. Une résidence est à la fois un moment du quotidien et une rencontre unique, un lieu d’échange. C’est un temps d’ouverture aux autres, mais aussi un temps de décélération, loin des contraintes du quotidien, qui permet aux artistes de s’interroger sur leur pratique et de la transformer.

    (c) Diana Bobb

    Cité international des arts

    https://www.citedesartsparis.net/en/open-studios-work-in-slow-motion

    Adresse : Cité Internationale des Arts Paris, Rue de l'Hôtel de ville, Paris, Frankreich
    Lattitude : 48.8541196
    Longitude : 2.3568464

    Paris

    25.06.17

    Mer 20:30

    Flora Miranda

    Nothing Matters but the End of Matter

    Dans le cadre de la Fashion Week Paris Haute Couture, la créatrice autrichienne Flora Miranda présentera sa nouvelle collection. L’invisible, le rien, l’air autour du corps conceptualisent l’espace des possibles pour le vêtement jusqu’à l’élément tangible le plus proche. De quelle matière ce corps-environnement est-il fait ? D’air, de gouttes d’eau, d’ondes radio, de rayons lumineux, d’ondes sonores : des forces physiques qui ne sont pas matériellement tangibles mais qui s’agrègent et s’homogénéisent sous des vibrations porteuses d’informations. Flora Miranda rend cette matière invisible - l’espace ambiant - portable pour le corps humain dans sa nouvelle collection. Nothing Matters but the End of Matter explore donc l’inter-espace. Ou quand « le vêtement est ce qui se trouve entre le corps et le monde » (Flora Miranda, Salzburger Nachrichten, 2016)

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    Renseignements : 01 53 23 05 05
    Site : www.advantageaustria.org

    Paris

    19-10-2023 > 07-01-2024




    DOPPELGANGER !

    Programme des artistes

    Le projet de Jakob Lena Knebl et Ashley Hans Scheirl prend la forme d’installations diverses, îlots de lumière qui invitent le public à explorer des « espaces de désir », selon leurs mots. Ielles créent une ambiance immersive incluant moquette et miroirs à travers lesquels les visiteur.euse.s deviennent partie prenante de l’exposition. La scénographie puise dans les codes de l’art, du design, de la littérature et des phénomènes socioculturels tout en tendant vers l’humour et le grotesque. Les installations amalgament les valeurs, elles génèrent une série de tensions et d’affects qui confèrent aux plus reconnaissables de leurs sources d’inspiration une
    « inquiétante étrangeté » à la fois troublante et intrigante.

     

    Les références – de Mary Shelley et Ada Lovelace à Barbapapa, de Hans Bellmer à Luigi Colani, d’Hector Guimard à l’esthétique cyber – s’enchevêtrent pour créer des œuvres et des êtres protéiformes, dont le transmorphisme repousse les limites du bon goût et des représentations de l’identité. Les artistes entrent en dialogue l’une avec l’autre en s’appuyant sur le préfixe « trans » : transmédium, transgenre, transmatérialité, transcontexte – un échange ludique entre la création contemporaine et l’histoire de l’art et du design, déconstruisant l’idée d’identité dans son ensemble : du maniérisme au surréalisme, du romantisme noir au biomorphisme, et du modernisme au postmodernisme et inversement, en s’ouvrant sur un avenir d’existence cybernétique.

     

    Artistes

    Jakob Lena Knebl (Baden, Autriche, 1970) a travaillé comme aide-soignante auprès de personnes âgées avant d’étudier la sculpture textuelle avec Heimo Zobernig et la création de mode avec Raf Simons. Son travail s’inspire à la fois de l’histoire de l’art et de la culture populaire, explorant les co-constructions et les transformations des identités à travers la mode, le design, la musique, la scénographie et l’architecture. L’artiste a également une pratique curatoriale et est professeure en arts transmédias à l’Université des arts appliqués de Vienne. Elle a bénéficié d’expositions personnelles au mumok (Vienne, 2017), au Lentos Kunstmusem (Linz, 2020) et au Musée d’art et d’histoire de Genève (2021). Elle est représentée par la Galerie Loevenbruck (Paris) et Georg Kargl Fine Arts (Vienne).

     

    Ashley Hans Scheirl (Salzbourg, Autriche, 1956) a étudié la restauration et les beaux-arts. Iel a développé une pratique filmique conceptuelle, performative et expérimentale à partir de la fin des années 1970, largement diffusée dans les milieux alternatifs queer et lesbiens à l’international. Depuis les années 1990, l’artiste se consacre principalement à la peinture, mise en scène de manière performative dans le cadre d’installations répondant au contexte spatial et conceptuel de chaque exposition. Ashley Hans Scheirl a été professeur·e de peinture contextuelle à l’Académie des beaux-arts de Vienne de 2006 à 2022. Ses œuvres ont notamment été présentées à la Documenta 14 (Athènes et Cassel, 2017) et au Salzburger Kunstverein (Salzbourg, 2018). Iel est représenté·e par la Galerie Loevenbruck (Paris) et la Galerie Crone (Berlin/Vienne).

     

    Jakob Lena Knebl et Ashley Hans Scheirl travaillent séparément ou en duo. Ielles ont exposé ensemble à la 15e Biennale d’art contemporain de Lyon (2019) à l’invitation du Palais de Tokyo et à la Kunsthaus Bregenz (2020). Ielles ont représenté l’Autriche à la 59e Biennale de Venise (2022).

     

     

    > Cette exposition sera présentée aux Deichtorhallen Hamburg / Falckenberg Collection au printemps 2024.

    >Elle bénéficie du soutien de Phileas – The Austrian Office for Contemporary Art et du Forum Culturel Autrichien.

    > La production des œuvres de Jakob Lena Knebl et Ashley Hans Scheirl bénéficie du soutien de Simacek et du Ministère fédéral des arts, de la culture, de la fonction publique et des sports en Autriche.

    (c) Georg Petermichl

    Palais de Tokyo

    https://palaisdetokyo.com/

    Adresse : 13 Avenue du Président Wilson, Paris, France
    Lattitude : 48.8645866
    Longitude : 2.2966748

    Paris

    25.06.17

    Mer 20:30

    Flora Miranda

    Nothing Matters but the End of Matter

    Dans le cadre de la Fashion Week Paris Haute Couture, la créatrice autrichienne Flora Miranda présentera sa nouvelle collection. L’invisible, le rien, l’air autour du corps conceptualisent l’espace des possibles pour le vêtement jusqu’à l’élément tangible le plus proche. De quelle matière ce corps-environnement est-il fait ? D’air, de gouttes d’eau, d’ondes radio, de rayons lumineux, d’ondes sonores : des forces physiques qui ne sont pas matériellement tangibles mais qui s’agrègent et s’homogénéisent sous des vibrations porteuses d’informations. Flora Miranda rend cette matière invisible - l’espace ambiant - portable pour le corps humain dans sa nouvelle collection. Nothing Matters but the End of Matter explore donc l’inter-espace. Ou quand « le vêtement est ce qui se trouve entre le corps et le monde » (Flora Miranda, Salzburger Nachrichten, 2016)

    Infos pratiques

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    Renseignements : 01 53 23 05 05
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    Toulouse

    18-10-2023 > 20-10-2023




    Autriche- RDA

    Relations littéraires au temps de la guerre froide (1949- 1989)

    Alors que les relations politiques, économiques et culturelles entre les deux États allemands d’une part et entre la République fédérale d’Allemagne et l’Autriche d’autre part ont fait l’objet de nombreuses études et analyses, les liens particuliers entre l’Autriche et la RDA n’ont jusqu’à présent reçu que peu d’attention de la part des historiens, et encore moins des historiens de la littérature.

    Afin de combler cette lacune de la recherche, l’objectif premier du colloque est donc d’analyser et de mettre en lumière les relations et interactions littéraires entre la RDA et l’Autriche, de la guerre froide à la fin de la RDA en 1989.

     

    artistes et conférencier.e.s:

    Dr. Laure GALLOUËT (Université Paris Est Créteil)

    Dr. Maximilian GRAF (Österreichisches Staatsarchiv)

    Prof. Dr. Walter GRÜNZWEIG (Technische Universität Dortmund (geb. 1956 in Graz, Österreich))

    Dr. Anna HORAKOVA (Université de Grenoble,  UFR Langues Étrangères)

    Dr. Elisabeth KARGL (Univ. de Nantes)

    Prof. Dr. Mario KESSLER (Leibinz-Zentrum für Zeithistorische Forschung Potsdam)

    Dr. Sebastian KUGLER, (Institut für Germanistik Universität Wien)

    Prof. Dr. Jacques LAJARRIGE (Université Toulouse Jean Jaurès, CREG)

    Dr. habil. Hélène LECLERC (Université Toulouse Jean Jaurès)

    Prof. Dr. Siegfried LOKATIS (Universität Leipzig)

    Dr. Stefan MAURER (Literaturhaus Wien)

    Dr. Doris MOSER (Universität Klagenfurt,  Vizestudienrektorin, Koordinatorin für internationale Beziehungen des Instituts für Germanistik)

    Prof. Dr. Ulrich PFEIL (Université de Lorraine – Metz, CEGIL)

    Prof. Dr. Georg PICHLER (Universidad de Alcalá de Henares, Madrid)

    Dr. Alfred PRÉDHUMEAU (Université Toulouse Jean Jaurès – CREG)

    Prof. Dr. Günther STOCKER (Universität Wien, Institut für Germanistik)

     

    (c) Marcus Lenk

    Université Toulouse Jean Jaurès

    Département des Langues étrangères

    https://ages-info.org/fr/2023/09/25/colloque-autriche-rda-relations-litteraires-en-temps-de-guerre-froide-1949-1989-toulouse-18-20-octobre-2023/

    Adresse : Université Toulouse - Jean Jaurès, Allée Antonio Machado, Toulouse, Frankreich
    Lattitude : 43.57632889999999
    Longitude : 1.4020557

    Paris

    25.06.17

    Mer 20:30

    Flora Miranda

    Nothing Matters but the End of Matter

    Dans le cadre de la Fashion Week Paris Haute Couture, la créatrice autrichienne Flora Miranda présentera sa nouvelle collection. L’invisible, le rien, l’air autour du corps conceptualisent l’espace des possibles pour le vêtement jusqu’à l’élément tangible le plus proche. De quelle matière ce corps-environnement est-il fait ? D’air, de gouttes d’eau, d’ondes radio, de rayons lumineux, d’ondes sonores : des forces physiques qui ne sont pas matériellement tangibles mais qui s’agrègent et s’homogénéisent sous des vibrations porteuses d’informations. Flora Miranda rend cette matière invisible - l’espace ambiant - portable pour le corps humain dans sa nouvelle collection. Nothing Matters but the End of Matter explore donc l’inter-espace. Ou quand « le vêtement est ce qui se trouve entre le corps et le monde » (Flora Miranda, Salzburger Nachrichten, 2016)

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    6 avenue Pierre 1er de Serbie, 75116 Paris

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    Paris

    12-09-2023




    Promenade littéraire à travers Paris avec Stefan Zweig et Rainer Maria Rilke

    par Martin Ploderer - EVENEMENT COMPLET

     

    Dans son célèbre livre « Le monde d’hier », Stefan Zweig décrit vingt ans après la fin de la Première Guerre Mondiale la chute d’une époque qui l’a empreint de son sceau et a été déterminante pour sa vie. Certains des faits décrits par l’auteur ne nous paraîtront d’ailleurs probablement pas totalement étrangers de nos jours lorsque nous lisons cette œuvre tardive de l’auteur. Le cinquième chapitre « Paris, la ville de l’éternelle jeunesse » dresse un portrait de la capitale française du début du XXè siècle, où l’on rencontre entre autres le gigantesque sculpteur français Auguste Rodin ainsi que le poète autrichien Rainer Maria Rilke, qui a travaillé un temps comme son secrétaire, jetant ainsi un pont entre ces deux cultures qui ne sont pas aussi dissemblables sur certains points que l’on ne pourrait penser. Martin Ploderer lit des extraits de ce chapitre alternativement en allemand et en français, ainsi que des poèmes de Rilke dans les deux langues.

     

     

    Martin Ploderer

    Bachelier du Lycée Français de Vienne, Martin Ploderer s’inscrit dans un premier temps en Droit et ensuite en Sciences du Théâtre à l’Université de Vienne et acquiert le Diplôme d’Etat d’Art Dramatique autrichien. Après quelques apparitions sur des scènes de théâtre à Vienne et à Berlin, il s’installe à Paris où il enseigne, entre autres à la célèbre école privée de théâtre « Cours Florent ». Son parcours le conduit par la suite à l’Ambassade d’Autriche à Paris (Service de Presse et d’Information). Après son retour à Vienne, il travaille pendant quelques années dans le secteur privé avant de revenir à sa véritable vocation en tant qu’acteur sur scène et devant la caméra. Le respect de la langue écrite et orale lui tient toujours particulièrement à cœur. A une époque où l’arbitraire domine de plus en plus le langage, Martin Ploderer souhaite renforcer ou éveiller chez son public la sensibilité et le respect pour un parler précis et correct et lui rendre la place qu’il mérite à travers une interprétation toujours personnelle et donc authentique d’une littérature exigeante.

    Depuis l’année commémorative 2014, au cours de laquelle il a présenté pour la première fois la version complète des « Derniers Jours de l’Humanité » de Karl Kraus en 16 soirées au Théâtre « Pygmalion » de Vienne, il a tourné avec des extraits de cette pièce dans son pays et à l’étranger. Il a été distingué par le « Prix du Public » au « Festival du Monodrame » de Kiev (Ukraine). L’enregistrement complet de l’œuvre sous forme de livre audio sur 18 CDs (publié par l’éditeur de livres audios MONO-Verlag) a été promu à la première place dans la liste des livres audios de la radio hessoise hr2.

    Par ailleurs, il a su conquérir son public avec deux autres grands projets de versions complètes – « La Divine Comédie » de Dante Alighieri dans la traduction allemande en vers de Hans Werner Sokop et « Faust I » de Goethe.

    « Nils Holgersson » de Selma Lagerlöf est paru sous forme de livre audio en version complète en 2020.

    En octobre 2023, le long-métrage autrichien « Pas un pas en arrière » („Keinen Schritt zurück“), dans lequel Martin Ploderer joue un rôle principal, sortira en salles. En novembre 2023, le long-métrage biographique français « L’Abbé Pierre – une vie de combats », dans lequel Martin Ploderer interprète le rôle d’Albert Einstein, sortira en salles en France. Ce film a déjà été projeté hors compétition au Festival de Cannes 2023. Martin Ploderer se produit en français et en allemand. Il est également actif en tant qu’auteur de poésie, de prose et de pièces de théâtre.

     

    COMPLET

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    Ambassade d'Autriche

    Adresse : 6 Rue Fabert, Paris, Frankreich
    Lattitude : 48.8614268
    Longitude : 2.3114112

    Paris

    25.06.17

    Mer 20:30

    Flora Miranda

    Nothing Matters but the End of Matter

    Dans le cadre de la Fashion Week Paris Haute Couture, la créatrice autrichienne Flora Miranda présentera sa nouvelle collection. L’invisible, le rien, l’air autour du corps conceptualisent l’espace des possibles pour le vêtement jusqu’à l’élément tangible le plus proche. De quelle matière ce corps-environnement est-il fait ? D’air, de gouttes d’eau, d’ondes radio, de rayons lumineux, d’ondes sonores : des forces physiques qui ne sont pas matériellement tangibles mais qui s’agrègent et s’homogénéisent sous des vibrations porteuses d’informations. Flora Miranda rend cette matière invisible - l’espace ambiant - portable pour le corps humain dans sa nouvelle collection. Nothing Matters but the End of Matter explore donc l’inter-espace. Ou quand « le vêtement est ce qui se trouve entre le corps et le monde » (Flora Miranda, Salzburger Nachrichten, 2016)

    Infos pratiques

    25.06.17

    Mer 20:30

    Advantage Austria Paris

    6 avenue Pierre 1er de Serbie, 75116 Paris

    Renseignements : 01 53 23 05 05
    Site : www.advantageaustria.org

    Bordeaux

    13-05-2022 > 15-05-2022




    13-05-202213-05-202214-05-202215-05-2022

    Adelphi Quartet – Chaos String Quartet – Zorá String Quartet

    Festival Vibre! Festival des Quatuors à Cordes

    Le Concours International de Quatuors à Cordes a lieu tous les trois ans dans le cadre du Festival de Quatuor à Cordes de Bordeaux (9 au 15 mai 2022). Il permet d’aller à la rencontre de jeunes talents internationaux.

    Dans le cadre de ce Festival trois Quatuors à cordes venant d’Autriche ont été sélectionnés pour le Concours:

    Adelphi Quartet

    Maxime Michaluk, violon
    Esther Agusti Matabosch, violon
    Marko Milenkovic, alto
    Nepomuk Braun, violoncelle

    Chaos String Quartet

    Susanne Schäffer, violon
    Eszter Kruchió, violon
    Sara Marzadori, alto
    Bas Jongen, violoncelle

    Zorá String Quartet

    Dechopol Kowintaweewat, violon
    Haruno Sato, violon
    Julian Alexander Sawhill, alto
    Zizai Ning, violoncelle

    Parmi les membres du jury, Madame Veronika Hagen, altiste du Quatuor Hagen, représentera l’Autriche aux côtés du Canada, d’Israël, du Japon, de la Finlande et de la France.

    Nous leur souhaitons bonne chance !

    Chaos String Quartet C Andrej Grilc 05628 1 3 1400x956

    Auditorium de l'Opéra National de Bordeaux

    Entrée gratuite

    https://www.opera-bordeaux.com/en/

    Adresse : Opéra National de Bordeaux | L'Auditorium de l'Opéra, Cours Georges Clemenceau, Bordeaux, Frankreich
    Lattitude : 44.8421974
    Longitude : -0.5801033999999999

    Paris

    25.06.17

    Mer 20:30

    Flora Miranda

    Nothing Matters but the End of Matter

    Dans le cadre de la Fashion Week Paris Haute Couture, la créatrice autrichienne Flora Miranda présentera sa nouvelle collection. L’invisible, le rien, l’air autour du corps conceptualisent l’espace des possibles pour le vêtement jusqu’à l’élément tangible le plus proche. De quelle matière ce corps-environnement est-il fait ? D’air, de gouttes d’eau, d’ondes radio, de rayons lumineux, d’ondes sonores : des forces physiques qui ne sont pas matériellement tangibles mais qui s’agrègent et s’homogénéisent sous des vibrations porteuses d’informations. Flora Miranda rend cette matière invisible - l’espace ambiant - portable pour le corps humain dans sa nouvelle collection. Nothing Matters but the End of Matter explore donc l’inter-espace. Ou quand « le vêtement est ce qui se trouve entre le corps et le monde » (Flora Miranda, Salzburger Nachrichten, 2016)

    Infos pratiques

    25.06.17

    Mer 20:30

    Advantage Austria Paris

    6 avenue Pierre 1er de Serbie, 75116 Paris

    Renseignements : 01 53 23 05 05
    Site : www.advantageaustria.org

    Paris

    29-04-2022 > 28-05-2022




    KARO KUCHAR « Taking Back the Looking-Glass »

    Exposition collective - Shagha Ariannia, Rebecca Brodskis et Karo Kuchar

    Et s’il était possible de reprendre le miroir que la société nous tend, d’y récupérer l’image qui nous définit pour la déformer, y peindre les tours et contours qui nous correspondent, y dessiner de nouveaux motifs et y sculpter des lignes qui épousent les nôtres ?

    Pour Charles Cooley, anthropologue américain du début du XXe siècle, cette possibilité ne serait que fantasme. Selon sa théorie du “Looking-Glass self”, l’individu se définit par rapport à la perception de ceux qui l’entourent. Le miroir, permis par l’interaction sociale, tendu par la société est l’élément fondateur de l’individu, dont la pleine existence n’est possible qu’avec le collectif. Ce processus permet la cohérence de la société, l’alignement de l’individu avec l’autre, pour assurer l’équilibre de la vie.

    L’exposition propose de plonger au cœur du fantasme, et d’y confronter le collectif. Karo Kuchar imprime sur soie et organza la mémoire des espaces. Avec, elle circonscrit maillots, seconde peau ou dernière couche avant l’intime et fait apparaître courbes et formes dans leur immatérialité. Elle montre ce qui est caché et dévoile les corps sans les dénuder, en effaçant les corps des femmes pour les rendre autrement visibles.

    Looking Glass Invitation Front

    Galerie Septieme

    entrée libre

    https://septiemegallery.com/en/home-en/

    Adresse : 31 Rue de l'Université, Paris, Frankreich
    Lattitude : 48.8578123
    Longitude : 2.3272699

    Paris

    25.06.17

    Mer 20:30

    Flora Miranda

    Nothing Matters but the End of Matter

    Dans le cadre de la Fashion Week Paris Haute Couture, la créatrice autrichienne Flora Miranda présentera sa nouvelle collection. L’invisible, le rien, l’air autour du corps conceptualisent l’espace des possibles pour le vêtement jusqu’à l’élément tangible le plus proche. De quelle matière ce corps-environnement est-il fait ? D’air, de gouttes d’eau, d’ondes radio, de rayons lumineux, d’ondes sonores : des forces physiques qui ne sont pas matériellement tangibles mais qui s’agrègent et s’homogénéisent sous des vibrations porteuses d’informations. Flora Miranda rend cette matière invisible - l’espace ambiant - portable pour le corps humain dans sa nouvelle collection. Nothing Matters but the End of Matter explore donc l’inter-espace. Ou quand « le vêtement est ce qui se trouve entre le corps et le monde » (Flora Miranda, Salzburger Nachrichten, 2016)

    Infos pratiques

    25.06.17

    Mer 20:30

    Advantage Austria Paris

    6 avenue Pierre 1er de Serbie, 75116 Paris

    Renseignements : 01 53 23 05 05
    Site : www.advantageaustria.org

    Paris

    31-03-2022




    « Travail en cours »

    Pale blue dot - point bleu clair

    Une photographie a été utilisé pour générer l’image dans un processus historique d’impression en gravure. Ce procédé est basé sur l’image emblématique prise par la NASA par la sonde Voyager 1 le 14 février 1990. Elle a été filmée à environ 6 milliards de kilomètres de la Terre. À ce jour, il s’agit de la plus grande distance à laquelle une photographie de notre terre a été prise.

    Contrairement aux résultats techniques impressionnants, un graphique sera réalisé à la main selon une méthode traditionnelle.

     

    L’image de Voyager doit être très émouvante pour quiconque. Elle montre comment, de loin, la terre est toute petite. En regardant cette image, le célèbre astronome américain Carl E. Sagan a écrit que « […] tous les saints et pécheurs de l’histoire de notre espèce ont vécu là, sur un grain de poussière, suspendu dans un rayon de soleil. »

     

    Quoi qu’il en soit, la photo prise par le robot de 700 kilos et assemblée après plus de     cinq heures passées sur terre suscite l’humilité. Selon Sagan, descendant de juifs d’Europe de l’Est, la contemplation devrait nous libérer des chauvinismes de toutes sortes. Un mot qui a pris de plus en plus d’importance pour moi est « miséricorde ». C’est un privilège de la vie que de faire de l’art. C’est quelque chose qui nous distingue de toutes les autres espèces.

    © Oswald Auer/Viktor Jaschke/Nasa

    Imprimerie de Taille-Douce René Tazé

    gratuit

    https://www.maitredart.fr/maitre-art/rene-taze

    Adresse : 70 Rue René Boulanger, 75010 Paris, Frankreich
    Lattitude : 48.869253
    Longitude : 2.358131

    Paris

    25.06.17

    Mer 20:30

    Flora Miranda

    Nothing Matters but the End of Matter

    Dans le cadre de la Fashion Week Paris Haute Couture, la créatrice autrichienne Flora Miranda présentera sa nouvelle collection. L’invisible, le rien, l’air autour du corps conceptualisent l’espace des possibles pour le vêtement jusqu’à l’élément tangible le plus proche. De quelle matière ce corps-environnement est-il fait ? D’air, de gouttes d’eau, d’ondes radio, de rayons lumineux, d’ondes sonores : des forces physiques qui ne sont pas matériellement tangibles mais qui s’agrègent et s’homogénéisent sous des vibrations porteuses d’informations. Flora Miranda rend cette matière invisible - l’espace ambiant - portable pour le corps humain dans sa nouvelle collection. Nothing Matters but the End of Matter explore donc l’inter-espace. Ou quand « le vêtement est ce qui se trouve entre le corps et le monde » (Flora Miranda, Salzburger Nachrichten, 2016)

    Infos pratiques

    25.06.17

    Mer 20:30

    Advantage Austria Paris

    6 avenue Pierre 1er de Serbie, 75116 Paris

    Renseignements : 01 53 23 05 05
    Site : www.advantageaustria.org

    Saint-Denis

    09-03-2022 > 25-03-2022




    Elsie Herberstein « Croquis de Répétition »

    Seul ce qui brûle

    L’ exposition « croquis de répétition » au Théâtre Gérard Philipe de Saint Denis débute mercredi 9 mars,  à 19h.

    Ce sera aussi la première du spectacle « Seul ce qui brule » de la metteuse en scène Julie Delille qui a adapté pour le théâtre le roman épistolaire et de Christiane Singer (franco-autrichienne).

     

    Croquis De Répétition

    Théâtre Gérard Philipe

    https://tgp.theatregerardphilipe.com/spectacle/seul-ce-qui-brule/

    Adresse : 59 Boulevard Jules Guesde, Saint-Denis, Frankreich
    Lattitude : 48.9382658
    Longitude : 2.3503492