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    Paris

    25.06.17

    Mer 20:30

    Flora Miranda

    Nothing Matters but the End of Matter

    Dans le cadre de la Fashion Week Paris Haute Couture, la créatrice autrichienne Flora Miranda présentera sa nouvelle collection. L’invisible, le rien, l’air autour du corps conceptualisent l’espace des possibles pour le vêtement jusqu’à l’élément tangible le plus proche. De quelle matière ce corps-environnement est-il fait ? D’air, de gouttes d’eau, d’ondes radio, de rayons lumineux, d’ondes sonores : des forces physiques qui ne sont pas matériellement tangibles mais qui s’agrègent et s’homogénéisent sous des vibrations porteuses d’informations. Flora Miranda rend cette matière invisible - l’espace ambiant - portable pour le corps humain dans sa nouvelle collection. Nothing Matters but the End of Matter explore donc l’inter-espace. Ou quand « le vêtement est ce qui se trouve entre le corps et le monde » (Flora Miranda, Salzburger Nachrichten, 2016)

    Infos pratiques

    25.06.17

    Mer 20:30

    Advantage Austria Paris

    6 avenue Pierre 1er de Serbie, 75116 Paris

    Renseignements : 01 53 23 05 05
    Site : www.advantageaustria.org

    Nantes

    16-11-2023 > 04-01-2024




    Paris/NYC

    de David Bacher

    L’expo Paris/NYC est le résultat de quinze ans de photographie par David Bacher dans ces deux villes mythiques qui lui tiennent à cœur. Le projet a été publié dans un livre photo en 2020 par l’éditeur Lammerhuber à Vienne en Autriche. L´exposition a été présentée en premier chez Initial Labo à Paris et voyage dans d’autres villes de France. David a commencé à photographier dans Paris dès son arrivée en 2004 et plus tard à New York en 2008.

    Particulièrement fasciné et inspiré par des photographes humanistes comme Vivian Maier, Henri-Cartier Bresson ou Robert Frank, parmi beaucoup d’autres, David est intéressé par les nuances dans la vie quotidienne qui sont souvent négligées ou pas remarquées.

    Selon Carole Naggar « David crée souvent des trompe-l’œil ou il bouscule les perspectives, donnant aux reflets et aux ombres une présence aussi réelle que celle des corps et des visages qui peuplent le théâtre de ses rues. »

    En jouant sur les effets de la mondialisation le photographe invite son spectateur à réfléchir et souvent à hésiter à déterminer dans quelle ville les photos ont été prises. Ce sont ces différents niveaux de complexité qui nous obligent à étudier avec attention chaque image. David aime les photos qui sont directes et compréhensibles mais qui nous encourage en même temps à nous poser des questions. Il voit ses images comme une façon de jouer avec le monde.

     

    À propos de l’artiste:

    David Bacher est un photographe et peintre américain et autrichien qui vit en France depuis 18 ans. Il travaille pour la presse et collabore également avec des organisations internationales telles que les Nations Unies. Il est né et a grandi aux États-Unis dans l’État de Virginie. Là- bas il obtient un diplôme d’économie et d’anthropologie à l’université de Virginie. Ces deux disciplines influencent son regard sur le monde autour de lui.
    Site internet: www.davidbacher.com

    (C) David Bacher

    https://www.allreadymade.art/agenda/manifestation/1135

    Adresse : 15 Boulevard Guist'Hau, Nantes, Frankreich
    Lattitude : 47.2161163
    Longitude : -1.5661291

    Paris

    25.06.17

    Mer 20:30

    Flora Miranda

    Nothing Matters but the End of Matter

    Dans le cadre de la Fashion Week Paris Haute Couture, la créatrice autrichienne Flora Miranda présentera sa nouvelle collection. L’invisible, le rien, l’air autour du corps conceptualisent l’espace des possibles pour le vêtement jusqu’à l’élément tangible le plus proche. De quelle matière ce corps-environnement est-il fait ? D’air, de gouttes d’eau, d’ondes radio, de rayons lumineux, d’ondes sonores : des forces physiques qui ne sont pas matériellement tangibles mais qui s’agrègent et s’homogénéisent sous des vibrations porteuses d’informations. Flora Miranda rend cette matière invisible - l’espace ambiant - portable pour le corps humain dans sa nouvelle collection. Nothing Matters but the End of Matter explore donc l’inter-espace. Ou quand « le vêtement est ce qui se trouve entre le corps et le monde » (Flora Miranda, Salzburger Nachrichten, 2016)

    Infos pratiques

    25.06.17

    Mer 20:30

    Advantage Austria Paris

    6 avenue Pierre 1er de Serbie, 75116 Paris

    Renseignements : 01 53 23 05 05
    Site : www.advantageaustria.org

    Paris

    22-11-2023




    Sergent Mayor Eismayer

    réalisé par David Wagner

    Dans le cadre du 29e Festival du film queer Chéries-Chéris à Paris (ancien Festival de films gays et lesbiens de Paris), le film « Sergent Major Eimayer » de David Wagner sera présenté en avant-première au public français à la MK2 et au Centre Pompidou. La sortie officielle en salle en France est prévue pour le 13 décembre 2023. Les deux acteurs, Gerhard Liebmann et Luka Dimic, sont invités à la présentation. L’avant-première sera accompagnée de discussions et d’interviews avec les invités.

    Synopsis 

    De quelle manière les couleurs de l’arc-en-ciel éclairent-elles la caserne de l’armée autrichienne, lorsque la colère non maîtrisée rencontre le sentiment amoureux et que le camouflage du commandant Charles Eismayer, s’estompe?  Eismayer est l’instructeur le plus redouté de l’armée autrichienne. Mais Mario, fraîchement arrivé à la caserne, ne se laisse pas intimider. Résolu, il lui tient tête et affiche ouvertement son homosexualité, tient tête et affiche la vision du monde apparemment conservatrice du sergent major, qui mène en réalité une double vie. Brusqué par le comportement provocant de Mario, Eismayer voit son monde s’écrouler un peu plus jour après jour…Inspiré d’une histoire vraie.

    Le film a été récompensé aux Festivals internationaux du film de Venise (2022) dans la catégorie indépendante Settimana Internazionale della Critica/Venice International Critics’ Week. Il a également remporté le prix du public au Festival du film français Les Arcs en 2022

    Une séance supplémentaire est proposée le 27 novembre 2023 à 16 h au Mk2 Beaubourg.

    Golden Girls Film

    MK2 Quai de Seine

    La sortie officielle du film en France est prévue le 13 décembre.

    https://cheries-cheris.com/festival/

    Adresse : 14 Quai de la Seine, 75019 Paris, Frankreich
    Lattitude : 48.885148947359774
    Longitude : 2.371669064418014

    Paris

    25.06.17

    Mer 20:30

    Flora Miranda

    Nothing Matters but the End of Matter

    Dans le cadre de la Fashion Week Paris Haute Couture, la créatrice autrichienne Flora Miranda présentera sa nouvelle collection. L’invisible, le rien, l’air autour du corps conceptualisent l’espace des possibles pour le vêtement jusqu’à l’élément tangible le plus proche. De quelle matière ce corps-environnement est-il fait ? D’air, de gouttes d’eau, d’ondes radio, de rayons lumineux, d’ondes sonores : des forces physiques qui ne sont pas matériellement tangibles mais qui s’agrègent et s’homogénéisent sous des vibrations porteuses d’informations. Flora Miranda rend cette matière invisible - l’espace ambiant - portable pour le corps humain dans sa nouvelle collection. Nothing Matters but the End of Matter explore donc l’inter-espace. Ou quand « le vêtement est ce qui se trouve entre le corps et le monde » (Flora Miranda, Salzburger Nachrichten, 2016)

    Infos pratiques

    25.06.17

    Mer 20:30

    Advantage Austria Paris

    6 avenue Pierre 1er de Serbie, 75116 Paris

    Renseignements : 01 53 23 05 05
    Site : www.advantageaustria.org

    Paris

    21-11-2023




    CHRISTOPHER HINTERHUBER & HERI CHOI

    Saison Blüthner – Piano Mon Amour

    Christopher Hinterhuber est professeur de piano et directeur de l’Institut de piano à l’Université de musique et des arts du spectacle (mdw) à Vienne. Grâce à ses enregistrements et à sa carrière mondiale en tant que lauréat de nombreux concours, il s’est imposé à l’échelle internationale en tant que pianiste d’une grande envergure.

    Un projet particulier fut l’enregistrement sonore (Schubert, Rachmaninov, Schönberg) et visuel (les mains de Christopher Hinterhuber) pour le film franco-autrichien « La Pianiste » d’Elfriede Jelinek, réalisé par Michael Haneke (récompensé par le Grand Prix du Jury à Cannes en 2001).

    Heri Choi, originaire de Corée du Sud, est une hautboïste qui, après avoir remporté de nombreux premiers prix lors de concours nationaux en Corée, a étudié auprès de Christian Wetzel à Leipzig et Günter Lorenz à Vienne, où elle a terminé ses études avec distinction et a reçu un prix du ministère de l’Éducation et de l’Art. Son profil artistique va de la musique ancienne sur instruments d’époque à la musique contemporaine, et elle est régulièrement invitée dans des festivals de renom. En 2018, la première enregistrement CD de son ensemble, le Vienna Reed Quintet, est sorti chez Naxos, comprenant des œuvres de Rameau, Mozart et Ravel, qui ont également reçu des critiques très positives à l’échelle internationale.

    Programme :

    Ludwig van Beethoven : Sonate en do majeur op. 53, « Waldstein »

    Clara Schumann : 3 Romances pour hautbois et piano op. 22

    Bedřich Smetana : La Moldau tirée de « Ma patrie » JB 1:112, arrangée pour piano solo par Heinrich von Kàan-Albést (1852-1926)

    Daniel Schnyder : Sonate pour hautbois et piano (1996)

     

    Le public parisien peut s’attendre à une soirée de concert exceptionnelle.

    © Nancy Horowitz

    Goethe-Institut Paris,

    https://www.goethe.de/ins/fr/de/sta/par/ver.cfm?event_id=25130290

    Adresse : 17 Avenue d'Iéna, 75116 Paris, Frankreich
    Lattitude : 48.8661481
    Longitude : 2.2944806

    Paris

    25.06.17

    Mer 20:30

    Flora Miranda

    Nothing Matters but the End of Matter

    Dans le cadre de la Fashion Week Paris Haute Couture, la créatrice autrichienne Flora Miranda présentera sa nouvelle collection. L’invisible, le rien, l’air autour du corps conceptualisent l’espace des possibles pour le vêtement jusqu’à l’élément tangible le plus proche. De quelle matière ce corps-environnement est-il fait ? D’air, de gouttes d’eau, d’ondes radio, de rayons lumineux, d’ondes sonores : des forces physiques qui ne sont pas matériellement tangibles mais qui s’agrègent et s’homogénéisent sous des vibrations porteuses d’informations. Flora Miranda rend cette matière invisible - l’espace ambiant - portable pour le corps humain dans sa nouvelle collection. Nothing Matters but the End of Matter explore donc l’inter-espace. Ou quand « le vêtement est ce qui se trouve entre le corps et le monde » (Flora Miranda, Salzburger Nachrichten, 2016)

    Infos pratiques

    25.06.17

    Mer 20:30

    Advantage Austria Paris

    6 avenue Pierre 1er de Serbie, 75116 Paris

    Renseignements : 01 53 23 05 05
    Site : www.advantageaustria.org

    Paris

    01-11-2023 > 15-11-2023




    Erwin Wurm

    Dans le cadre de l'HETEROTOPIA - l'exposition phare de la Biennale de l’Image Tangible 2023

    ERWIN WURM

    Né en 1954 à Bruck an der Mur (Autriche). Vit et travaille à Vienne. Sculpteur à l’origine, Erwin Wurm introduit la notion de temps par le biais de la photographie. « Quand j’ai commencé à travailler, ce qu’on entendait traditionnellement par sculpture était une chose en 3 dimensions qui devait durer éternellement. Mon sentiment était que la sculpture pouvait aussi ne durer que quelques instants. J’ai donc fait des photos de ces moments-là, et je considère que ces photos sont aussi des sculptures ». En se servant du corps humain – et notamment du sien – comme matériau, en utilisant des objets du quotidien, en faisant du temps une dimension essentielle de son travail photographique et vidéo, il a remis en question les fondements de la sculpture – Comment créer une sculpture qui ne soit ni figée dans le temps, ni dans l’espace ? Une sculpture peut-elle devenir un objet quotidien ? « One Minute sculpture », devient alors le titre générique de ses oeuvres : Erwin Wurm les réalise en invitant une personne, à suivre un protocole simple, en se mettant par exemple en situation temporaire avec un vêtement ou un objet. Erwin Wurm interroge également dans ses sculptures, les apparences et la réalité qu’elles masquent : le sens de la possession et de l’accumulation. Il développe des recherches sur le processus de création, basées sur les transformations des formes et du poids. Il crée ainsi d’étranges objets ou encore des personnages rendus difformes, exagérément boursouflés, à la limite de l’éclatement.

    HETEROTOPIA

    Pour l’Exposition Phare 2023 de la troisième édition de la Biennale de l’Image Tangible nous nous laisserons porter par le vent de la légèreté, de l’absurde et de la dérision. Comme un antidote aux sombres prophéties qui nous submergent, nous allons savourer l’impertinence de ceux qui ne voient pas tout en noir. De ceux qui savent infléchir la réalité et nous transporter avec leur fantaisie au-delà des angoisses contemporaines. Mais loin de tout discours et de toute morale, cette posture artistique souligne en creux l’état de désespoir de nos sociétés et la nécessité de le combattre avec discernement. Et nous en avons besoin. Avec la fin des idéologies et l’absence de toute perspective positive, l’imaginaire de notre époque s’est soudainement obscurci au point de se projeter dans des futurs sombres et des univers contre-utopiques. Non pas que d’autres raisons ne manquent pour alimenter cette noirceur parmi lesquelles la crise climatique, les guerres et la récente épidémie, reste que le pessimisme s’est durablement installé dans les esprits. Dans ce contexte, beaucoup d’artistes se sont recentrés sur des recherches formelles souvent portées par le champ considérable qu’offrent les nouvelles technologies. D’autres documentent et font œuvre de la catastrophe à venir, mais l’absence de solutions et le repli sur soi caractérisent globalement notre époque. Exit donc la révolution et ses promesses intenables, pour autant devons-nous nous contenter de solutions raisonnables ou ponctuelles pour réenchanter l’avenir ? Devons-nous croire aux promesses technologiques pour sauver le monde ou les adopter pour justement ne jamais se remettre en cause ? Les artistes de cette exposition phare ne posent pas le problème en ces termes, et si leurs œuvres semblent parfois déconnectées des problématiques actuelles, elles n’en abordent pas moins des sujets de genre, d’identité, de sexualité, de consommation et plus généralement de notre propre place dans le monde au sens métaphysique du terme. D’une grande diversité formelle, la forme couvre plusieurs registres, montage, installation, mise en scène, objets photographiques et implique de multiples techniques. Quand les œuvres d’Erwin Würm, Frédérique Daubal ou Roman Signer rivalisent d’imagination dans un registre loufoque, Tadao Cern préfère prélever sur le terrain et témoigner à la façon d’un reporter. Les installations de Sandrine de Pas, les découpages d’Amir Chasson ou les portraits de Nicolas Deville forment un corpus hétérogène et cohérent d’images provocantes et dérangeantes. Rachel Joode, Anne De Vries, Letha Wilson s’amusent à déconstruire notre perception de l’espace tant physique que mental, tandis que Manon Pretto, Oli Serenson, Marie Serruya investissent la technologie pour développer des univers où l’artificialité assumée de leurs pièces tient le rôle d’un miroir déformant de la réalité. Le travail de Lingfei Guan explore avec cynisme et une habile touche de kitch le fétichisme et l’érotisme asiatique. Philippe Katerine, connu pour ses performances musicales ou cinématographiques, met un pied dans le tangible en exposant une partie de son dernier projet plastique Le Mignonisme. Si la somme de tous ces regards forme un ensemble, c’est qu’il se démarque en plusieurs points des tendances actuelles. Par la présence humaine dans les œuvres mais aussi par l’engagement subtil que permettent justement l’humour et la désinvolture. A contre-courant donc, ce corpus relève du concept d’Hétérotopie cher à Michel Foucault[1]. Et cette exposition propose effectivement un espace autonome, loin des tendances, de la pensée dominante et des perceptions normées. Un espace de décompression où utopies et dystopies deviennent un peu plus tangibles.

    Dans une actualité toujours plus catastrophiste, le point de vue décalé de ces artistes ose introduire l’esprit farceur qui les habite. Sans ambition particulière pour remédier à nos faillites idéologiques, leur travail nous interpelle et nous incite à prendre les choses graves avec plus de légèreté. En l’absence de tout autre message, saurons-nous saisir la perche, abandonner toute idée de sérieux puisqu’il n’y a pas de solution ? Il semble qu’un air neuf puisse enfin souffler sur un monde qui n’en finit pas de mourir. Si l’humour est la politesse du désespoir, il peut aussi renverser la table de tous les académismes. L’urgence est aujourd’hui de remettre l’énergie au centre et plus encore de bousculer les codes d’une époque pessimiste et formatée.
    (c) ADAGP

    Le 24 Beaubourg

    Adresse : 24 Rue Beaubourg, 75003 Paris, Frankreich
    Lattitude : 48.861629
    Longitude : 2.353852

    Paris

    25.06.17

    Mer 20:30

    Flora Miranda

    Nothing Matters but the End of Matter

    Dans le cadre de la Fashion Week Paris Haute Couture, la créatrice autrichienne Flora Miranda présentera sa nouvelle collection. L’invisible, le rien, l’air autour du corps conceptualisent l’espace des possibles pour le vêtement jusqu’à l’élément tangible le plus proche. De quelle matière ce corps-environnement est-il fait ? D’air, de gouttes d’eau, d’ondes radio, de rayons lumineux, d’ondes sonores : des forces physiques qui ne sont pas matériellement tangibles mais qui s’agrègent et s’homogénéisent sous des vibrations porteuses d’informations. Flora Miranda rend cette matière invisible - l’espace ambiant - portable pour le corps humain dans sa nouvelle collection. Nothing Matters but the End of Matter explore donc l’inter-espace. Ou quand « le vêtement est ce qui se trouve entre le corps et le monde » (Flora Miranda, Salzburger Nachrichten, 2016)

    Infos pratiques

    25.06.17

    Mer 20:30

    Advantage Austria Paris

    6 avenue Pierre 1er de Serbie, 75116 Paris

    Renseignements : 01 53 23 05 05
    Site : www.advantageaustria.org

    Paris

    06-11-2023 > 09-11-2023




    MICHIKAZU MATSUNE

    Mitsouko & Mitsuko

    Dans le cadre du Festival d’Automne 2023

    Michikazu Matsune pose un regard lucide sur les relations entre le Japon et l’Europe qui ont débuté avec l’avènement du Japonisme il y a un siècle. L’œuvre est un travail romantique empreint de passion, se déroulant en arrière-plan de la guerre russo-japonaise et de son expérience de la vie à Vienne. Le voyage à travers les événements actuels et l’histoire qu’il nous propose est stupéfiant, ponctué d’un humour subtil et de sincérité.

    Le point de départ est le nom d’un parfum mythique. En 1919, Guerlain a créé « Mitsouko », en référence à l’héroïne du roman La Bataille de Claude Farrère, publié en 1909. Une autre femme, une vraie cette fois, portait le même nom, celui de Mitsouko Aoyama, l’une des premières Japonaises à vivre en Europe. En 1893, alors que le Japon devenait de plus en plus militariste et occidentalisé, elle épousa un diplomate austro-hongrois et obtint le titre de comtesse de Coudenhove-Kalergi. À travers ces deux figures féminines, Matsune interroge la fascination européenne pour le Japon et la culture japonaise, tout en confrontant les stéréotypes d’une forme profondément sexualisée de Japonisme à nos craintes fantasmatiques de la « Péril Jaune ». Originaire de Kobe, mais vivant dans la capitale autrichienne depuis les années 1990, et donc confronté quotidiennement à la question de l’altérité, les questions que pose cet artiste pluridisciplinaire sur nos identités respectives servent à démanteler nos malentendus culturels réciproques. Elles permettent également à l’artiste de se libérer de ses propres illusions par rapport à l’Occident. L’œuvre est une vaste enquête dans l’inconscient collectif d’hier et d’aujourd’hui.

     

    Crédits

    Direction artistique et performance, Michikazu Matsune
    Recherche et coopération artistique, Miwa Negoro
    Vidéo, Adina Camhy, Michikazu Matsune
    Musique, Camilo Latorre, Adina Camhy
    Éclairage, Victor Duran
    Traduction en français, Marion Schwartz

    Produit par Studio Matsune
    Coproduit par Wiener Festwochen (Vienne)
    Avec le soutien du Théâtre Vidy-Lausanne ; de l’Institut Goethe de Tokyo ; du Teatro Nacional D. Maria II (Lisbonne)
    Le Studio Matsune est financé par le Département des affaires culturelles de la Ville de Vienne (Autriche) et par le Ministère autrichien de l’Art, de la Culture, de la Fonction publique et du Sport.

    La Maison de la culture du Japon à Paris et le Festival d’Automne à Paris sont coproducteurs de cette performance.
    Avec le soutien de la Fondation franco-japonaise Sasakawa.

    (c) Elsa Okazaki

    Maison de la culture du Japon à Paris

    https://www.festival-automne.com/en/edition-2023/michikazu-matsune-emmitsouko-mitsukoem

    Adresse : Maison de la culture du Japon à Paris, 101 bis Quai Jacques Chirac, 75015 Paris, Frankreich
    Lattitude : 48.85471760000001
    Longitude : 2.2896465

    Paris

    25.06.17

    Mer 20:30

    Flora Miranda

    Nothing Matters but the End of Matter

    Dans le cadre de la Fashion Week Paris Haute Couture, la créatrice autrichienne Flora Miranda présentera sa nouvelle collection. L’invisible, le rien, l’air autour du corps conceptualisent l’espace des possibles pour le vêtement jusqu’à l’élément tangible le plus proche. De quelle matière ce corps-environnement est-il fait ? D’air, de gouttes d’eau, d’ondes radio, de rayons lumineux, d’ondes sonores : des forces physiques qui ne sont pas matériellement tangibles mais qui s’agrègent et s’homogénéisent sous des vibrations porteuses d’informations. Flora Miranda rend cette matière invisible - l’espace ambiant - portable pour le corps humain dans sa nouvelle collection. Nothing Matters but the End of Matter explore donc l’inter-espace. Ou quand « le vêtement est ce qui se trouve entre le corps et le monde » (Flora Miranda, Salzburger Nachrichten, 2016)

    Infos pratiques

    25.06.17

    Mer 20:30

    Advantage Austria Paris

    6 avenue Pierre 1er de Serbie, 75116 Paris

    Renseignements : 01 53 23 05 05
    Site : www.advantageaustria.org

    Paris

    05-10-2023 > 21-10-2023




    Portraits de confinement

    un voyage immobile

    Le projet

    En 2020, pendant le confinement, Elsie Herberstein a commencé à peindre les portraits de ses proches, famille et amis, en les faisant poser à travers l’écran de son ordinateur, via Zoom. Lors de ces séances, ses modèles, confinés en France mais aussi aux quatre coins du monde, lui ont raconté ce qu’ils vivaient et ressentaient. Ils lui ont, ensuite, envoyé un court texte, inspiré de cette expérience inédite.
    Cette exposition sera accompagnée d’un ouvrage présentant les 83 portraits et témoignages de confinement, réalisés de 2020 à 2023. Ainsi qu’une réflexion sur la pratique de l’artiste du portrait.

     

    Elsie Herberstein

    D’origine autrichienne, Elsie Herberstein croque sur le vif depuis l’enfance. Après des études à l’École nationale supérieure des Arts Décoratifs, elle publie des carnets de voyage et de reportage sur plusieurs continents pour Albin Michel, Le Seuil, Flammarion, Jalan Publications et La Boîte à Bulles.

    (c) elsieherberstein

    Galerie Éric Licoys

    Ouvert du mardi au samedi de 11h à 19h. Tel : + 33 6 60 75 83 01 Métro : Palais Royal ou Louvre Rivoli Ligne 1

    Adresse : 10 Rue Jean-Jacques Rousseau, 75001 Paris, Frankreich
    Lattitude : 48.8622877
    Longitude : 2.3402768

    Paris

    25.06.17

    Mer 20:30

    Flora Miranda

    Nothing Matters but the End of Matter

    Dans le cadre de la Fashion Week Paris Haute Couture, la créatrice autrichienne Flora Miranda présentera sa nouvelle collection. L’invisible, le rien, l’air autour du corps conceptualisent l’espace des possibles pour le vêtement jusqu’à l’élément tangible le plus proche. De quelle matière ce corps-environnement est-il fait ? D’air, de gouttes d’eau, d’ondes radio, de rayons lumineux, d’ondes sonores : des forces physiques qui ne sont pas matériellement tangibles mais qui s’agrègent et s’homogénéisent sous des vibrations porteuses d’informations. Flora Miranda rend cette matière invisible - l’espace ambiant - portable pour le corps humain dans sa nouvelle collection. Nothing Matters but the End of Matter explore donc l’inter-espace. Ou quand « le vêtement est ce qui se trouve entre le corps et le monde » (Flora Miranda, Salzburger Nachrichten, 2016)

    Infos pratiques

    25.06.17

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    6 avenue Pierre 1er de Serbie, 75116 Paris

    Renseignements : 01 53 23 05 05
    Site : www.advantageaustria.org

    Versailles

    29-09-2023 > 30-09-2023




    LA LÉGENDE DU SAINT BUVEUR

    DE JOSEPH ROTH MISE EN SCÈNE ET AVEC CHRISTOPHE MALAVOY

    Le programme :

    Andréas vit sans adresse et habite chaque jour sous un autre pont. Sur les quais de la Seine un inconnu décide de l’aider en lui offrant une somme d’argent. Andréas refuse d’abord puis accepte, mais en homme d’honneur, il promet de rembourser cette dette. Y parviendra-t-il ?
    C’est le mystère et l’énigme qui nous tiennent jusqu’au bout de la pièce.
    La Légende du saint buveur est un grand texte au même titre que Vingt-quatre heures de la vie d’une femme ou encore Le joueur d’échecs de Zweig. Joseph Roth a la faculté de traduire la complexité de la nature humaine. Difficile de rester insensible à la beauté et à l’humanité qui émanent de cette histoire et de ce personnage que la vie a malmené, mais qui s’accroche, croit à son destin et défend le seul bien qui lui reste, sa dignité.
    Christophe Malavoy est un magnifique clochard et incarne brillamment ce personnage mélancolique et philosophe.

    L’auteur – Joseph Roth :

    Moses Joseph Roth est un écrivain et journaliste autrichien. Né dans une famille juive modeste de langue allemande, il poursuit des études littéraires. Âgé de 20 ans au début de la Première Guerre mondiale, il participe à l’effort de guerre dans des unités non combattantes comme le service de Presse des armées impériales. Il devient après la guerre journaliste (de tendance socialiste jusqu’à un voyage en Union Soviétique en 1926) et chroniqueur à Vienne et à Berlin, écrivant de nombreux articles dans la presse berlinoise et correspondant de la très libérale « Frankfurter Zeitung ».
    Le 30 janvier 1933, jour de la nomination de Hitler comme chancelier du Reich, Roth quitte l’Allemagne. Bientôt, ses livres aussi sont brûlés. Roth choisit d’abord Paris comme lieu d’exil, mais au cours des années suivantes, il ne séjourne pas souvent en France. Il entreprend différents voyages, certains de plusieurs mois comme aux Pays-Bas, en Autriche et en Pologne. Sombrant dans la misère et l’alcoolisme, il meurt à l’âge de 44 ans.
    Il écrit ses premiers textes publiés à partir de 1918 après la chute de la monarchie et le démembrement de l’Empire austro-hongrois, notamment « Hôtel Savoy » (1924), « Job, roman d’un homme simple » (1930) et « La Crypte des capucins » (1938). On retient l’élégance de l’écriture et l’humour qui l’illustrait, faisant de ses écrits un travail littéraire de grande qualité. Son roman le plus célèbre est « La marche de Radeztky » (« Radetzkymarsch », 1932). « La légende du Saint buveur » est son dernier texte, publié à titre posthume.

    Le comédien – Christophe Malavoy :

    César du meilleur espoir en 1982, Prix Jean Gabin en 1985, plusieurs fois nominé aux César comme meilleur acteur, Christophe Malavoy a tourné pour le cinéma une trentaine de films dont Péril en la Demeure de Michel Deville, Madame Bovary de Claude Chabrol, La Femme de ma vie de Régis Wargnier, Association de Malfaiteurs de Claude Zidi…
    Il a tourné pour la télévision une cinquantaine de films dont L’Affaire Seznec de Yves Boisset, La ville dont le prince est un enfant de Montherlant qu’il réalise et interprète (7 nominations aux Sept d’Or) et il a participé à quelques mini séries comme Clara Sheller de Renaud Bertrand.
    Au théâtre, il a joué dans une vingtaine de pièces dont La ville dont le prince est un enfant de Montherlant au théâtre Hébertot, D’Artagnan de Jérôme Savary, au théâtre de Mogador, Deux sur la balançoire de Noël Coward avec Ludmila Michaël au théâtre Montparnasse, Gary/Ajar adapté de l’œuvre de Romain Gary, qu’il a joué, écrit et mis en scène au théâtre du Petit-Montparnasse, et pour lequel il est nommé aux Molière 2009… Plus récemment, il crée une adaptation de La Légende du Saint buveur de Joseph Roth au festival d’Avignon 2019. Il reprendra le spectacle qu’il joue et met en scène au théâtre du Petit-Montparnasse dès la mi-septembre 2020.
    En tant que réalisateur, il est l’auteur de trois long-métrages dont Zone Libre qu’il adapte de l’œuvre de Jean-Claude Grumberg, avec Mathilde Seigner, Tsilla Tchelton et Jean-Paul Roussillon.

    (c) L'Arsène

    Théâtre Montansier

    https://indiv.themisweb.fr/0436/fChoixSeanceOnMultiSeance.aspx?request=QcE%20w0WHSuDGrm6o5AhJcJ7ihbWCqOLthomOfZTvb6KEif6r8LNETWM6cBxd2Y/H0oNLNj%20KPeTL0PVwScS%202mam9r6P%20rnk&yymm=20230929

    Adresse : Théâtre Montansier, 13 Rue des Réservoirs, 78000 Versailles, Frankreich
    Lattitude : 48.8080715
    Longitude : 2.1243152

    Paris

    25.06.17

    Mer 20:30

    Flora Miranda

    Nothing Matters but the End of Matter

    Dans le cadre de la Fashion Week Paris Haute Couture, la créatrice autrichienne Flora Miranda présentera sa nouvelle collection. L’invisible, le rien, l’air autour du corps conceptualisent l’espace des possibles pour le vêtement jusqu’à l’élément tangible le plus proche. De quelle matière ce corps-environnement est-il fait ? D’air, de gouttes d’eau, d’ondes radio, de rayons lumineux, d’ondes sonores : des forces physiques qui ne sont pas matériellement tangibles mais qui s’agrègent et s’homogénéisent sous des vibrations porteuses d’informations. Flora Miranda rend cette matière invisible - l’espace ambiant - portable pour le corps humain dans sa nouvelle collection. Nothing Matters but the End of Matter explore donc l’inter-espace. Ou quand « le vêtement est ce qui se trouve entre le corps et le monde » (Flora Miranda, Salzburger Nachrichten, 2016)

    Infos pratiques

    25.06.17

    Mer 20:30

    Advantage Austria Paris

    6 avenue Pierre 1er de Serbie, 75116 Paris

    Renseignements : 01 53 23 05 05
    Site : www.advantageaustria.org

    Paris

    17-10-2023




    BACHMANN&CELAN

    un one-woman show /spectacle solo avec Johanna Beisteiner

    À l’occasion du 50e anniversaire de la mort d’Ingeborg Bachmann:

    Ce programme musico-littéraire solo explore le lien d’Ingeborg Bachmann avec Paris et sa vie jusqu’en 1960, y compris sa relation avec le poète Paul Celan (1957-58). La guitariste de concert et chanteuse de renommée internationale Johanna Beisteiner récite des traductions françaises de la correspondance entre Bachmann et Celan. Entre les textes elle présente des œuvres de Franz Schubert, Wolfgang A. Mozart et Ludwig van Beethoven. L’artiste joue plusieus de ses propres arrangements des périodes classiques et romantiques viennoises. Dans sa pratique d’interprétation historique renouvelée consistant à chanter des chansons d’art dans la technique du bel canto avec un accompagnement indépendant à l’instrument, elle interprète des chansons de Mozart et de Schubert. Elle présente également des œuvres virtuoses pour guitare solo, dont un nouvel arrangement d’une œuvre de mandoline rarement jouée de Beethoven.

    JOHANNA BEISTEINER est une guitariste, chanteuse et arrangeuse de renommée internationale. Elle se consacre également à la récitation dans différentes langues et à la danse. Après ses études à l’Université de musique de Vienne, elle a donné des concerts invités, entre autres, au Musikverein de Vienne, à la Philharmonie de Sotchi, au Palais des Arts de Budapest et au Festival international baroque de La Valette. A l’automne 2022, dans le cadre d’une tournée américaine, elle présente son one-woman show « Farkas in America », un programme particulièrement varié avec de la musique, de la danse et des poèmes de Karl Farkas. En plus de ses récitaux, elle joue avec des orchestres renommés tels que les orchestres symphoniques de Budapest et de Sotchi, l’orchestre philharmonique de Malte et l’orchestre philharmonique de chambre de Graz. Elle a reçu plusieurs prix, par ex. le Premio Teatro della Concordia (Italie, 2016). Plusieurs de leurs enregistrements sont sortis sur CD et DVD sur Gramy Records. Elle enregistre également des bandes sonores pour des films.
    Site officiel de Johanna Beisteiner: www.beisteiner.com

     

    Lettres:

    * „Le Temps du Coeur“, traduit de l’allemand par Bertrand Badiou (Éditions du Seuil, 2011), pages 23-34

    ISBN: 9782020970235

    Durée totale des textes: 10 min

    Musique de

    * Franz Schubert (1797-1828): An die Laute, Die Forelle, Frühlingstraum, Ständchen.

    * Wolfgang A. Mozart (1756-1791): Komm liebe Zither, Das Veilchen, Die Zufriedenheit

    * Ludwig van Beethoven (1770-1827): Sonatine C Dur, WoO 44a

    Durée totale de la musique: 40 min

    Tous les compositeurs sont morts depuis plus de 70 ans, la question des droits d’exécution n’est donc pas pertinente.
    Toutes les œuvres sont jouées ou chantées en direct, aucun enregistrement n’est utilisé.

    (c) Bachmann Archiv

    Maison Heinrich Heine

    https://www.maison-heinrich-heine.org/?lang=fr

    Adresse : Fondation de l'Allemagne - Maison Heinrich Heine, Boulevard Jourdan, Paris, Frankreich
    Lattitude : 48.81773869999999
    Longitude : 2.335733

    Paris

    25.06.17

    Mer 20:30

    Flora Miranda

    Nothing Matters but the End of Matter

    Dans le cadre de la Fashion Week Paris Haute Couture, la créatrice autrichienne Flora Miranda présentera sa nouvelle collection. L’invisible, le rien, l’air autour du corps conceptualisent l’espace des possibles pour le vêtement jusqu’à l’élément tangible le plus proche. De quelle matière ce corps-environnement est-il fait ? D’air, de gouttes d’eau, d’ondes radio, de rayons lumineux, d’ondes sonores : des forces physiques qui ne sont pas matériellement tangibles mais qui s’agrègent et s’homogénéisent sous des vibrations porteuses d’informations. Flora Miranda rend cette matière invisible - l’espace ambiant - portable pour le corps humain dans sa nouvelle collection. Nothing Matters but the End of Matter explore donc l’inter-espace. Ou quand « le vêtement est ce qui se trouve entre le corps et le monde » (Flora Miranda, Salzburger Nachrichten, 2016)

    Infos pratiques

    25.06.17

    Mer 20:30

    Advantage Austria Paris

    6 avenue Pierre 1er de Serbie, 75116 Paris

    Renseignements : 01 53 23 05 05
    Site : www.advantageaustria.org

    Paris

    15-09-2023




    CLUB ZERO

    L'avant première de Jessica Hausner

    Club Zero:

    Dans un lycée privé, la bienveillante Miss Novak initie d’innovants cours de nutrition qui bousculent les habitudes alimentaires. Parents, professeurs et adolescents sont ravis. Subjugués, certains élèves vont intégrer le mystérieux Club Zéro.

    A propos Jessica Hausner:

    La réalisatrice autrichienne pose d’emblée un regard en biais, entre caméra de sécurité et mouche sur le mur, sur un univers privilégié, aseptisé et douceâtre, dont la vacuité absolue contamine de l’intérieur. En choisissant le champ de l’alimentation comme métaphore pour traiter de plusieurs thèmes actuels brûlants, à commencer par les mécanismes sournois de l’influence, Hausner donne à son propos une corporéité dérangeante très efficace. Et c’est le grand retour de la magnifique Mia Wasikowska.

    (c) Jessica Hausner

    MK2 Quaie de Seine

    https://www.etrangefestival.com/2023/fr/movie/club-zero

    Adresse : MK2 Quai de Seine, Quai de la Seine, Paris, Frankreich
    Lattitude : 48.88514190000001
    Longitude : 2.3717112

    Paris

    25.06.17

    Mer 20:30

    Flora Miranda

    Nothing Matters but the End of Matter

    Dans le cadre de la Fashion Week Paris Haute Couture, la créatrice autrichienne Flora Miranda présentera sa nouvelle collection. L’invisible, le rien, l’air autour du corps conceptualisent l’espace des possibles pour le vêtement jusqu’à l’élément tangible le plus proche. De quelle matière ce corps-environnement est-il fait ? D’air, de gouttes d’eau, d’ondes radio, de rayons lumineux, d’ondes sonores : des forces physiques qui ne sont pas matériellement tangibles mais qui s’agrègent et s’homogénéisent sous des vibrations porteuses d’informations. Flora Miranda rend cette matière invisible - l’espace ambiant - portable pour le corps humain dans sa nouvelle collection. Nothing Matters but the End of Matter explore donc l’inter-espace. Ou quand « le vêtement est ce qui se trouve entre le corps et le monde » (Flora Miranda, Salzburger Nachrichten, 2016)

    Infos pratiques

    25.06.17

    Mer 20:30

    Advantage Austria Paris

    6 avenue Pierre 1er de Serbie, 75116 Paris

    Renseignements : 01 53 23 05 05
    Site : www.advantageaustria.org

    Saint-Léon-sur-Vézère

    17-08-2023




    Chaos String Quartet au Festival du Périgord Noir

    QUATUOR CHAOS - LES GRANDS DE DEMAIN

    Chaos String Quartet :
    Susanne Schäffer, Violine
    Eszter Kruchió, Violine
    Sara Marzadori, Viola
    Bas Jongen, Violoncello

    Deuxième Prix du Concours International de Quatuors à Cordes de Bordeaux 2022, le Quatuor Chaos s’inspire de la théorie du même nom, se rassemblant autour de l’envie commune d’explorer les extrêmes et de jouer avec l’imprévisible. Susanne Schäffer, Eszter Kruchió, Sara Marzadori et Bas Jongen reprennent le célèbre quatuor de la Jeune Fille et la Mort de Schubert, moment de passage entre deux mondes sublimés par les tourments de la musique. Une autre pierre angulaire du répertoire l’accompagnera pour ce concert : le premier quatuor écrit par Beethoven, le numéro 3 de l’opus 18, et ses si singulières mélodies du Finale.

     

     

    (c) Andrej Grilc 05628

    Église de Saint-Léon-sur-Vézère

    https://festivalperigordnoir.maplace.fr/evenement/4178/QUATUOR

    Adresse : 51B Le Bourg, 24290 Saint-Léon-sur-Vézère, Frankreich
    Lattitude : 45.00972717999376
    Longitude : 1.0881426930427551