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    Online

    samedi 29.05.21

    18h00 > 23h45

    Nuit de la littérature 2021

    Carolina Schutti

    De retour pour sa 9ème édition, la Nuit de la Littérature sera virtuelle pour la deuxième année consécutive !

    Le FICEP – Forum des Instituts Culturels Étrangers à Paris – présente sa 9e édition de la Nuit de la littérature, mais aussi sa seconde édition virtuelle ! Suite au succès de l’année dernière, les centres culturels étrangers ressentent plus que jamais l’envie de se rassembler et de promouvoir leurs cultures sur la scène française.
    Ainsi, 17 auteurs, souvent assistés par un comédien ou un traducteur, vous proposeront de découvrir l’une de leurs oeuvres le temps d’une vidéo, avec des lectures d’extraits (en français et langue originale) et de courtes interviews.
    Dès 18h, le soir du samedi 29 mai, les vidéos présentant les oeuvres et leurs auteurs seront mises en ligne sur le site et le youtube du FICEP toutes les 20 minutes.
    De la poésie au polar, en passant par les romans jeunesse, découvrez une vingtaine d’univers littéraires singuliers, confortablement installés dans votre canapé.

    Le Forum Culurel Autrichien a le plaisir d’inviter l’auteure autrichienne Carolina Schutti qui présentera son roman Un jour j’ai dû marcher dans l’herbe tendre (Prix de littérature de l’Union Européenne 2015) et répondra à quelques questionsÀ elle se joindra la comédienne Constance Parra qui lira, elle aussi, des extraits du roman.

     

    Biographie

    Carolina Schutti est née à Innsbruck. Après son doctorat sur Elias Canetti et plusieurs années dans l’enseignement, elle se consacre à son œuvre littéraire. Premier roman Wer getragen wird, braucht keine Schuhe en 2010, premier recueil de nouvelles Eulen fliegen lautlos en 2015. Schutti a reçu plusieurs prix, dont le Prix de littérature de l’UE 2015 pour son deuxième roman, Einmal muss ich über weiches Gras gelaufen sein.

     

    Résumé

    Un village dans l’ombre et une tante qui ne parle pas du passé : c’est dans ce monde que, du jour au lendemain, Maïa se retrouve plongée. Avec la mort prématurée de sa mère biélorussienne, c’est aussi sa langue qui se perd. Maïa ne comprend pas la tante qui désormais s’occupe d’elle. Dans la maison isolée, il n’y a pas beaucoup de distractions pour cette petite fille introvertie. Marek, un ancien travailleur forcé polonais, est le seul chez qui elle trouve chaleur et affection. La musique de la langue qu’il parle réveille en elle les souvenirs de ses propres racines oubliées, de la langue perdue de sa petite enfance : « Je ne suis pas revenue, je n’ai pas pu, on m’a donné une matriochka qui ressemble beaucoup à la vieille, à celle que ma tante peut-être avait cachée ou jetée. Je l’ai ouverte et j’ai posé toutes les poupées les unes à côté des autres.

    Année de parution : 2012
    Edition : Le Ver à Soie (Traduction: Jacques Duvernet)
    Extraits interprétés par Constance Parra

    À savoir

    Contribution autrichienne : 18h20

    Programmation complète ainsi que tous les vidéos sur https://www.ficep.info/

    Partenaires

    FICEP


    Nuit de la littérature 2021 | Carolina Schutti - Autriche

    Info pratique

    samedi 29.05.21

    sam 18:00 > 23:45

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